Pour tendre vers un bon affichage de votre message sur les webmails et logiciels de messagerie, fixez la largeur de ce dernier entre 600 et 700 pixels maximum. Pour les textes de vos messages, choisissez une police « système », adaptée à une lecture Web (Arial, Times New Roman, Verdana, Tahoma, etc.), ce qui vous assurera que celle-ci ne soit pas remplacée par certaines messageries.
L’objet
L’objet de votre message est le premier lien avec votre destinataire mais également l’un des éléments passé au crible par les filtres anti-spam. Pensez donc à faire bonne impression sans pour autant être assimilé à du spam en y évitant les mots en majuscule, les caractères spéciaux ou l’excès de ponctuation. Vous pouvez tester sur plusieurs échantillons des objets différents afin de constater le taux d’ouverture.
Les images
Les images sont certes efficaces pour faire passer un message mais doivent être limitées au sein d’un emailing, au risque de pénaliser la lecture de ce dernier. Un grand nombre d’internautes consultant leurs e-mails sans en activer les images, optez pour une juste mesure entre texte et image en respectant un ratio de 70/30 et intégrez toujours un texte alternatif à vos images.
Les polices
Pour assurer une bonne lisibilité de votre message, évitez la multiplication des polices différentes et n’allez jamais en deçà de 10 pixels. Préférez des textes aux couleurs contrastées sur un fond clair plutôt que l’inverse.
Le contenu, votre valeur ajoutée
Créez un objet concis (40 caractères environ) et représentatif du contenu du message en lui-même. Conservez toujours la même adresse d’expéditeur afin que vos contacts habituels vous intègrent à leur carnet d’adresses.
L’objet
Optimisez le preheader de votre message, le texte situé dans la partie la plus haute du message, repris après l’objet sur de nombreux webmails. Sa forte visibilité en fait un atout sérieux pour favoriser l’ouverture de vos messages. Complémentaire à l’objet, il doit donner des indices supplémentaires sur le contenu du message, intriguer votre contact et l’inciter à lire intégralement celui-ci. Avec moins de 2 secondes d’affichage d’un e-mail pour convaincre, préférez dévoiler l’information principale dès le début de votre message ainsi que l’action que vous attendez de vos contacts.
Les spams et les mots interdits
Répondez aux questions « pour qui ? », « pourquoi ? », « comment ? » et intégrez un appel à l’action fort pour permettre à vos destinataires d’agir vite. Vérifiez que votre message, son objet et les liens qu’il contient ne comportent pas de « spamwords », ces « mots interdits » utilisés par les spammeurs tels que « gagnez », « gratuit », « promotion », « régime », « crédit », etc. Ils déclenchent les filtres anti-spam. N’intégrez pas de vidéo, flash, script ou autres formes de Rich Média qui pénaliserait la livraison de votre message.
Les liens
Si vous souhaitez rediriger vos contacts vers un document annexe, hébergez-le en ligne et intégrez dans le corps de votre message le lien pour y accéder au travers d’un appel à l’action image et/ou texte. Générateur de clics, il vous fera gagner en performance. évitez l’intégration de formulaire au sein de votre message e-mail (formulaire de contacts, sondage, inscription…). Privilégiez la redirection de vos contacts vers une page Web intégrant le formulaire.
Pour des emailings qui seront lus
Toujours relire avant d’envoyer
Mettez-vous à la place de vos contacts et posez-vous objectivement la question « Si je recevais un tel message, quelle serait ma première impression ? », « Spam ou non ? ». Effectuez des efforts de relecture de vos contenus. Les fautes de frappe et d’orthographe sont légions chez les spammeurs et décrédibilisent votre message.
Evitez de faire de même ! Des contenus à la tonalité trop amicale peuvent faire assimiler vos messages à du courrier indésirable.
Ne jamais chercher la facilité
Des objets débutant illégitimement par « Re : » ou « Tr : » sont loin d’être des leviers d’ouverture. Trompant les destinataires, ils font plutôt courir le risque d’être classé dans la boîte à spam. Utilisez un nom de domaine unique pour l’ensemble de vos adresses d’expédition et de retour ainsi que les liens contenus dans vos messages.
Effectuez des tests de rendu visuel de vos messages
sur différents webmails (Outlook, Yahoo, Gmail et Hotmail par exemple) pour gérer les exceptions et maîtriser leurs affichages. N’hésitez pas à faire appel à l’avis d’une personne extérieure qui pourra vous permettre de voir comment votre message est perçu, son aspect graphique et la rapidité de compréhension de l’information transmise.
Les 5 facteurs de la délivrabilité des e-mails
La délivrabilité technique
Il faut veiller à bien respecter les protocoles techniques d’envoi des e-mails. Il est conseillé, lorsqu’on a un grand nombre d’e-mails à envoyer, de faire appel à un routeur professionnel.
La qualité de la base de données
Il est important d’avoir une bonne « hygiène » de sa base de données, c’est-à-dire de s’assurer régulièrement que les adresses e-mails sont valides en supprimant les adresses erronées.
Le message en lui-même
Le filtrage est purement mécanique et, si le code html du message ne respecte pas les spécificités propres à l’emailing, il pourra alors être filtré. Si vous envoyez à un grand nombre de personne un e-mail avec fichier attaché, il pourra ne pas aboutir.
La réaction des internautes
Ouvrent-ils le message ou pas ? Est-ce qu’ils se désabonnent ou se plaignent ? Tous ces signaux sont pris en compte et interprétés par les FAI.
La réputation chez le FAI (fournisseurs d’accès internet)
Ils conservent l’historique de la réaction des internautes à vos envois d’emailings. Si le FAI vous classe comme un émetteur à mauvaise réputation, il vous laissera peu ou pas entrer dans la boite e-mail la prochaine fois.
Comment optimiser vos campagnes d'e-mailing ?
La mise en forme le binôme de la lisibilité
Pour tendre vers un bon affichage de votre message sur les webmails et logiciels de messagerie, fixez la largeur de ce dernier entre 600 et 700 pixels maximum. Pour les textes de vos messages, choisissez une police « système », adaptée à une lecture Web (Arial, Times New Roman, Verdana, Tahoma, etc.), ce qui vous assurera que celle-ci ne soit pas remplacée par certaines messageries.
L’objet
L’objet de votre message est le premier lien avec votre destinataire mais également l’un des éléments passé au crible par les filtres anti-spam. Pensez donc à faire bonne impression sans pour autant être assimilé à du spam en y évitant les mots en majuscule, les caractères spéciaux ou l’excès de ponctuation. Vous pouvez tester sur plusieurs échantillons des objets différents afin de constater le taux d’ouverture.
Les images
Les images sont certes efficaces pour faire passer un message mais doivent être limitées au sein d’un emailing, au risque de pénaliser la lecture de ce dernier. Un grand nombre d’internautes consultant leurs e-mails sans en activer les images, optez pour une juste mesure entre texte et image en respectant un ratio de 70/30 et intégrez toujours un texte alternatif à vos images.
Les polices
Pour assurer une bonne lisibilité de votre message, évitez la multiplication des polices différentes et n’allez jamais en deçà de 10 pixels. Préférez des textes aux couleurs contrastées sur un fond clair plutôt que l’inverse.
Le contenu, votre valeur ajoutée
Créez un objet concis (40 caractères environ) et représentatif du contenu du message en lui-même. Conservez toujours la même adresse d’expéditeur afin que vos contacts habituels vous intègrent à leur carnet d’adresses.
L’objet
Optimisez le preheader de votre message, le texte situé dans la partie la plus haute du message, repris après l’objet sur de nombreux webmails. Sa forte visibilité en fait un atout sérieux pour favoriser l’ouverture de vos messages. Complémentaire à l’objet, il doit donner des indices supplémentaires sur le contenu du message, intriguer votre contact et l’inciter à lire intégralement celui-ci. Avec moins de 2 secondes d’affichage d’un e-mail pour convaincre, préférez dévoiler l’information principale dès le début de votre message ainsi que l’action que vous attendez de vos contacts.
Les spams et les mots interdits
Répondez aux questions « pour qui ? », « pourquoi ? », « comment ? » et intégrez un appel à l’action fort pour permettre à vos destinataires d’agir vite. Vérifiez que votre message, son objet et les liens qu’il contient ne comportent pas de « spamwords », ces « mots interdits » utilisés par les spammeurs tels que « gagnez », « gratuit », « promotion », « régime », « crédit », etc. Ils déclenchent les filtres anti-spam. N’intégrez pas de vidéo, flash, script ou autres formes de Rich Média qui pénaliserait la livraison de votre message.
Les liens
Si vous souhaitez rediriger vos contacts vers un document annexe, hébergez-le en ligne et intégrez dans le corps de votre message le lien pour y accéder au travers d’un appel à l’action image et/ou texte. Générateur de clics, il vous fera gagner en performance. évitez l’intégration de formulaire au sein de votre message e-mail (formulaire de contacts, sondage, inscription…). Privilégiez la redirection de vos contacts vers une page Web intégrant le formulaire.
Pour des emailings qui seront lus
Toujours relire avant d’envoyer
Mettez-vous à la place de vos contacts et posez-vous objectivement la question « Si je recevais un tel message, quelle serait ma première impression ? », « Spam ou non ? ». Effectuez des efforts de relecture de vos contenus. Les fautes de frappe et d’orthographe sont légions chez les spammeurs et décrédibilisent votre message.
Evitez de faire de même ! Des contenus à la tonalité trop amicale peuvent faire assimiler vos messages à du courrier indésirable.
Ne jamais chercher la facilité
Des objets débutant illégitimement par « Re : » ou « Tr : » sont loin d’être des leviers d’ouverture. Trompant les destinataires, ils font plutôt courir le risque d’être classé dans la boîte à spam. Utilisez un nom de domaine unique pour l’ensemble de vos adresses d’expédition et de retour ainsi que les liens contenus dans vos messages.
Effectuez des tests de rendu visuel de vos messages
sur différents webmails (Outlook, Yahoo, Gmail et Hotmail par exemple) pour gérer les exceptions et maîtriser leurs affichages. N’hésitez pas à faire appel à l’avis d’une personne extérieure qui pourra vous permettre de voir comment votre message est perçu, son aspect graphique et la rapidité de compréhension de l’information transmise.
Les 5 facteurs de la délivrabilité des e-mails
La délivrabilité technique
Il faut veiller à bien respecter les protocoles techniques d’envoi des e-mails. Il est conseillé, lorsqu’on a un grand nombre d’e-mails à envoyer, de faire appel à un routeur professionnel.
La qualité de la base de données
Il est important d’avoir une bonne « hygiène » de sa base de données, c’est-à-dire de s’assurer régulièrement que les adresses e-mails sont valides en supprimant les adresses erronées.
Le message en lui-même
Le filtrage est purement mécanique et, si le code html du message ne respecte pas les spécificités propres à l’emailing, il pourra alors être filtré. Si vous envoyez à un grand nombre de personne un e-mail avec fichier attaché, il pourra ne pas aboutir.
La réaction des internautes
Ouvrent-ils le message ou pas ? Est-ce qu’ils se désabonnent ou se plaignent ? Tous ces signaux sont pris en compte et interprétés par les FAI.
La réputation chez le FAI (fournisseurs d’accès internet)
Ils conservent l’historique de la réaction des internautes à vos envois d’emailings. Si le FAI vous classe comme un émetteur à mauvaise réputation, il vous laissera peu ou pas entrer dans la boite e-mail la prochaine fois.
Source : Dynamique Mag
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